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attendre la saint-glinglin dans un train.
12/06/2010 07:34
L'autre jour, je remontais chez moi quelque part au fin fond du Jura. J'étais monté à 19h38 précise à fin de rejoindre la gare de mouchard. Le début du nouvel alliage pendant les 10 premières minutes se passa fort bien. Puis nous nous arrêtâmes brusquement dans la petite gare bourguignonnes de gens lisses. en effet notre TGV ne put aller plus loin, car le train qui nous précédait avait arraché une partie de la suspension caténaire. De ce fait nous avons attendu attendu attendu. La saint-glinglin. ce qu'il fut une expérience extraordinaire pour moi c'est que moi dans ce train où aucun voyageur ne relève discuter en attendant de redémarrer l'espace de cet événement les amitiés se sont liés. La SNCF dans toute son efficacité avait décidé d'affréter un bus qui partie sous mes yeux rejoindre la gare de la cité comtoise de Dole. Nous avions eu par chance l'occasion de nous arrêter dans cette petite gare, je n'ose imaginer les personnes qui se trouvaient dans le train que je pouvais apercevoir dans le lointain à une encablure environ d'un kilomètre cinq et qui ne pouvais. Se dégourdir les jambes à l'extérieur de celui-ci. J'ai donc été prendre mon premier café au bar par la voix du quai et non pas par la voie intérieure du train. tout en dégustant celui-ci je discutais avec le conducteur de notre machine ferroviaire. Qu'il nous propose la exceptionnellement demain visitait le poste de pilotage de celle-ci.
Il me fit remarquer que l'alliance suisse utilisait de vieux tromblon des années 80. « Regardez ma machine ne limitait qu'à 270 km, léger des pannes régulières d'un certain système. » Ajouta-t-il. « Mais aujourd'hui se rapide à moitié rouillé et juste repeint n'est pas en cause il s'agit d'un fait beaucoup plus extraordinaire dit-il en riant, on peut voir avec quel intérêt la SNCF révise ses câbles caténaires et la voix par la suite que c'était son dernier voyage de la journée et et qu'il devait rentrer chez lui à Lausanne.» Puis je le vis partir comme tous les usagers rejoints des personnes qui nous avaient précédé. Et je me suis donc fait signaler aux contrôleurs car j'avais une correspondance prévue. Je crois que ce ne fut pour le bar une soirée des plus juteuses pour celui-ci. il y avait foule pour se restaurer. La SNCF n'ayant donné à ces naufragés du rail ni bouteille à boire ni casse dalle ce qui aurait été pour nous d'un grand secours imaginé bien de ce fait nous avons tous traqués. J'ai est à mon deuxième café noir de la soirée que je venais de prendre dans le distributeur de la gare car nous venons d'être évacués par le contrôleur est ramené par le billet d'un passage souterrain nauséabond où l'on pouvait sentir l'odeur de l'urine, et y trouver quelques préservatifs usagés avec à leur emballage qui avait dû être ouvert en toute hâte par des amants en désir d'étreinte folle. Après la traversée de ce couloir nous nous trouvâmes enfin devant le bâtiment principal de la gare. Il s'agissait d'un bâtiment comme il en existe dans beaucoup de communes. autrefois les gares étaient construit d'un même style un peu comme les mairies des communes. De jolies pierres de taille de calcaire de comblanchien. Devant la gare les usagers de premières étaient au même niveau que celle de seconde. Bien que ceux-ci pour la plupart sont partis dans le premier bus. D'autres appelèrent désespérément des taxis afin de de les emmener à Lausanne. Je n'ose imaginer combien d'argent ils ont dû débourser dans cette folie. Moi j'ai gentiment attendu toute en discutant avec tout le monde. Étant devenu une attraction locale des jeunes individus en moto 50 cm³ firent leur apparition dans notre entourage et passèrent tel des diablotins parmi les valises et les voyageurs. Le bruit de moteur de leur véhicule ressemblait à s'y méprendre au bruit de ma tronçonneuse. Il résonna dans le tunnel où ceux-ci s'amusaient bêtement. D'ailleurs tout le monde fut pris d'un grand rire quand le pilote de ce fougueux véhicule revint la moto à la main complètement abîmée. je me suis imaginé que la moto avait du glissé sur l'une de ces choses lubrifiées qui parsemait le tunnel. Après l'intervention de nos jeunes clowns le calme et le silence ne feront plus que par les paroles des naufragés du rail. Parmi les naufragés de la SNCF se trouvait l'un des députés du Jura. Celui-ci parti dans les premiers en taxi me dit plus tard : le contrôleur du TGV-Est. cet homme, j'avais du le croiser, il m'avait lancé vers moi. Un si beau regard de mépris de la populace de ses administrés. (Je déteste les politiques de tout bord qu'ils soient de droite ou de gauche pour arriver là où ils sont ils sont obligés de faire des saloperies à tout le monde). Le temps s'écoule en non seulement parmi nous. Nous recevra l'ordre de rejoindre nos places dans le TGV. J'avais décidé de rejoindre le bar de celui-ci. Je me souviendrai être repassé dans le tunnel. Où les débris d'un phare que l'on ne pouvait voir tant il faisait sombre. Crépitait et se briser sous nos pas. prenant une femme de forte corpulence en pitié le jeu me proposait de lui porter sa lourde valise en haut des marches de l'escalier qui menait au quai où nous attendait notre train.
À cet instant j'ai pris quelques photos du train dans la pénombre du jaillissait les lumières décédées vite créées et et de ses sas ouverts. Et rejoint enfin le bar où je discutais avec un première classe de la fauconnerie en France et au Japon. se passe la commande : d'un thé glacé, d'une pizza. Car mon corps était arrivé aux limites de sa faim. Caténaires nous pouvons être réparés tout de suite les employés de la SNCF dure bricoler la voie à fin que l'on puisse passer sur la voie adjacent de contresens. Enfin le train avait passé la saint-glinglin. Nous avions attendu le retour d'un autre chauffeur de locomotive qui était allée se balader à dole et qui était au final revenu. Allez savoir pourquoi les stratèges de la société ferroviaire avaient décidé cela. L'employé le train qui servait en première offre une bonne bière et nous n'avons trinqué à notre retard incommensurable. J'étais déjà un peu pompette quand nous avons rejoint les personnes du bus dans la gare de dole. Un usager est fort peu heureux de la situation d'une grande carrure, souleva au col le contrôleur et avait comme grand désir de lui refaire le portrait. Mais le contrôleur dans une phrase héroïque lui en dissuada fortement l'usage de la force sur sa personne. Et lui dit : «fort bien passer nous a déçu si vous le désirez, mais sachez le, le train qui vient de repartir devra de nouveau s'arrêter et ne repartira plus ! » « vous pouvez procéder au vote sur le sort de ma personne, ajouta-t-il que cinq qui sont pour me briser les reins d'elles savaient tous comme les Romains. Bien évidemment toute l'assistance fut d'une grande clémence envers lui. après cet houleux événement, qui se passe à dans la voiture bar. Et qui avait eu comme conséquence infimes les quelques canettes bières renversées sur le sol. Nous repartîmes dans le calme et la sérénité. le temps d'arriver à la gare de mouchard. Mon niveau d'alcoolémie avait monté d'un cran. Ce n'est pas que je picole beaucoup mais a rien me fais tourner la tête. Et je ne pouvais en rien refuser la bière qu'il n'avait été si grassement offert par le personnel de bord. Arrivé sur lequel de celle-ci un employé de garder nuit m'attendait la lanterne à la main et me dit « vous êtes bien M. lecoin ? Un taxi vous attend. suivaient-moi s'il vous plaît. »
C'est donc en titubant que j'ai suivi celui-ci je tiens mon taxi. qui déposa tout d'abord un de mes camarades qui venaient de Paris et qui était pianiste. Il fut déposé dans le village de pupillen. Seul lieu réputé par tous les alcoolo du coin car dans son village il y a beaucoup de viticulteurs. Et que dans le Jura on ne boit pas seulement de l'eau mais aussi beaucoup de bibine. Après avoir déposé notre ami nous nous dirigeâmes vers les couteaux de haute seille où se trouve mon village. Nous arrivions près du croisement qui se situe à l'entrée de ma vallée et le compteur du taxi affichait déjà 160 €. Enfin le taxi me déposa au pied de chez moi, l'on reconnaît ma maison car devant celle-ci qu'il pleuve ou qu'il vente flotte fièrement les couleurs japonaises et se seulement quand je suis présent. Vous ne verrez jamais flotter nos trois couleurs elles me font trop honte je lui en préfère le symbole du soleil triomphant se levant à Lorient. il pleuvait des cordes le passage lourd portail de ma maisonnée. Arrivé devant ma porte je cherchais à tâtons dans mon sac les clés de celle-ci. Enfin, j'étais rentré chez moi il était trois heure et demi Quand je pûs enfin me coucher.
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